à propos

Qui suis-je ?

Je suis né sous le soleil de Nice et le signe des Gémeaux. En ce qui concerne mon rapport avec les livres, j'ai des souvenirs assez nets de mes jeunes années, notamment lorsque avec l'école on se rendait une fois par semaine à la bibliothèque du quartier (de Caucade). Pour moi, la sensation était équivalente à se rendre dans un magasin de jeux. Et mes jouets d'alors étaient une bande de Six Compagnons, un quatuor de mousquetaires ou un jeune serf qui avait déniché un faucon...

Bienvenue sur mon site, je me prénomme Didier, je suis juriste en propriété intellectuelle, entrepreneur et bibliophile. Mais lorsque je dégaine mon stylo plume ou que j'ouvre mon logiciel de traitement de texte, alors là je peux le dire : je suis écrivain !

Pourquoi j'écris ?

Je vais vous épargner les niaiseries du genre : « à l'âge de sept ans j'ai eu envie d'écrire ! » ou encore : « Je ne pourrais pas vivre sans écrire ! ». Ces clichés sont la marque des têtes à claques. Si on écrit, si j’écris, c’est avant tout pour le plaisir. J'écris car j’aime ça, tout simplement. L’écriture n’a pas besoin d’une raison d’être ; elle est sa propre raison d’être. Vous ne demanderiez pas pourquoi untel joue au football ou pourquoi un autre est chanteur. Ne me demandez pas alors pourquoi j’écris, si ce n’est pour le plaisir. Le plaisir de raconter des histoires et d'exciter les imaginaires…

Mes références

Parmi les classiques du 19ème siècle, je resterai sans cesse époustouflé par le style de Flaubert et ses "phrases musclées à la peau bistre". Avec Salammbô, il décroche pour moi la médaille d'or 24 carats de la littérature, même si le talonne de très près Victor Hugo, un génie à la puissance de frappe atomique.

Chez les contemporains, je dois citer Michel Tournier et son étourdissant Roi des Aulnes, chef d’œuvre lumineux au milieu de la noirceur du nazisme. Marguerite Yourcenar m'impressionne aussi par son style classique poussé à la perfection. Je feuillette d'ailleurs souvent au hasard ses Mémoires d'Hadrien pour respirer un bon bol de littérature.

Du côté des Américains, je raffole de l’œuvre du charismatique Paul Auster. Sa Nuit de l'Oracle et Seul dans le noir sont des mécaniques de précision, et pourtant rien ne semble écrit, tout semble couler spontanément. Dans un tout autre registre, comment omettre Michael Crichton (Jurassic Park, Congo...) dans mon panthéon ? Ses idées et son inventivité enflammaient mon imagination et me rendaient presque jaloux, adolescent.

Enfin, en tant que grand amateur de science-fiction, citons Jules Verne, évidemment, ainsi que la pierre angulaire de la SF actuelle : Pierre Bordage (Les Guerriers du Silence défoncent sans problèmes Star Wars, que cela soit dit, même crûment !).

Navré de vous le dire, mais ma "Team" est meilleure que la vôtre !